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Le Projet

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Le kabarde est une race de cheval Russe qui a évolué au cours des 2000 dernières années dans la région des montagnes du Caucase.
Leurs qualités sont le résultat direct d'une longue évolution dans un environnement difficile mais aussi pur et sain.

 

Ils ont des sabots exceptionnellement durs, un excellent équilibre et une grande stabilité en terrain difficile, une endurance exceptionnelle tant pour la grande altitude que pour longues distances et une capacité d'escalade sur terrain difficile.

Ils ont un courage et une intelligence remarquables.

 
Le projet est de promouvoir cette race qui à une place naturelle dans le sport d'endurance équestre aujourd'hui largement détenue par la race de chevaux arabes'
 
L'idée est également de faire pouliner Izae, la race Kabarde étant une race amélioratrice, et une race pure à préserver.
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​"Enfants de France

Quand l’ennemi sera vaincu et quand vous pourrez librement cueillir des fleurs sur ce champs, souvenez vous de nous  vos amis Russes et apportez nous des fleurs."

Il y a déjà quelques temps que l’on peut remarquer une certaine réécriture de l’histoire qui tend à effacer nos liens avec la Russie et à gommer le rôle essentiel que celle-ci a joué dans les deux derniers conflits mondiaux, où elle s’était engagée à nos côtés.
 

Sans parler de liens historiques plus anciens, les émigrés français réfugiés à Saint-Pétersbourg, les guerres napoléoniennes, la venue du tsar Alexandre à Paris, les cosaques que venaient voir les Parisiens le dimanche et qui nous ont laissé le mot de « bistrot », cosaques dont un détachement de descendants a rappelé le souvenir en effectuant à cheval le trajet de leurs ancêtres dans un silence médiatique français significatif.

 

Voyant dernièrement une photo de la stèle de Saint-Hilaire-le-Grand, j’ai été très touchée par le texte qui y est gravé, et j’ai conçu le projet de répondre au voyage des cosaques par le voyage inverse qui consisterait à porter à nos alliés l’hommage de ces fleurs bien méritées par le sang qu’ils ont versé pour libérer la France par deux fois, en 14 et en 45.

 

Hommage que je voudrais rendre, par la même occasion, à mon grand-père, qui fut, à 16 ans, le plus jeune soldat belge engagé de la première guerre mondiale. Quoi de plus symbolique que de porter ces fleurs à cheval, sur une jument Kabarde, race reine des montagnes du Caucase.

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Une partie du projet de grande 'importance est de faire broder et d'emporter une bannière avec l’icône de la mère de Dieu de Jérusalem.

La volonté est de témoigner de l'unité de l'Orthodoxie.

D’après une pieuse tradition, le prototype de l’icône de la Mère de Dieu de Jérusalem a été peint par le saint apôtre Luc à Gethsémani quinze ans après l’Ascension de notre Seigneur Jésus Christ. L’empereur Léon le Grand fit transporter l’icône à Constantinople, afin de l’installer dans l’église consacrée à la Mère de Dieu de la Source. Plus tard, au temps de l’empereur Héraclius, Constantinople fut attaquée par les Scythes, et le salut de la ville fut obtenu par les prières du peuple grec devant l’icône de la Mère de Dieu de Jérusalem. Après cette manifestation miraculeuse de la miséricorde de la Reine des cieux, le pieux empereur ordonna que la sainte icône fût transportée dans l’église des Blachernes, où elle demeura près de trois cents ans. Au début du Xème siècle, les russes firent campagne contre Constantinople et emportèrent l’icône de la Mère de Dieu de Jérusalem à Cherson. Par la suite, après son baptême dans cette même ville, le prince Vladimir emporta l’icône à Kiev. Plus tard, les habitants de Novgorod reçurent la foi chrétienne, et le grand prince leur envoya l’icône comme bénédiction. Elle résida plus de quatre cents ans dans la cathédrale Sainte-Sophie. Au milieu du seizième siècle, Novgorod tomba entre les mains du tsar Ivan le Terrible qui fit transporter l’icône de Novgorod à Moscou, où elle fut déposée dans la cathédrale de la Dormition de la Toute-Sainte Mère de Dieu. Lors de l’invasion des français en 1812, l’icône fut volée et emportée à Paris. On suppose qu’elle se trouve aujourd’hui à la cathédrale Notre-Dame.

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